Lors notre exploration, nous n’avons pas pu aborder l’ensemble des sujets qui concernent le bodypositivisme. Cela s’explique en grande partie parce que nous avions des moyens limités pour les analyser.
Ainsi, nous avions réussi à scraper des données sur 25 000 publications ayant dans leur description le hashtag #bodypositive mais nous n’avons pas pu autant les exploiter que nous aurions voulu. En effet, nous voulions avoir des données sur les régularités dans la juxtaposition de certains hashtags avec celui que nous étudions. Faute d’algorithme capable de faire cela, nous avons dû nous limiter à nos observations manuelles.
En outre, nous avons eu l’opportunité de réaliser un entretien avec une utilisatrice d’Instagram mais nous aurions aimé en faire autant avec une influenceuse, notamment pour qu’elle puisse témoigner sur les messages qu’elle reçoit de ses abonnées ou encore pour comprendre l’intention derrière l’utilisation ou non d’un hashtag comme ceux que nous avons étudié.